En direct de la guerre.

En effet, la bataille fait rage en ce moment même .

La générale Salambô Cha  mène une  lutte impitoyable sur les terres d’Orange Bleue.

Le pays d’Arscola débordé par l’ennemi avait appelé à la rescousse cette générale exilée (sous des prétextes fallacieux) car la présidente de cette région ne pensait pas que les belligérants mèneraient une telle offensive blitzsgriesque.

Rappelons les hauts faits d’armes de Salambô : enseignée aux astuces et tactiques de la baston par moi même, son biographe, lors de sa prime jeunesse.

Je vis d’abord un petit être fragile quand je l’acceuillis dans mon humble entre, quand je tendis la main vers elle elle me griffa puis partis se cacher…

C’est ainsi que je me décidais à faire son éducation, au plus vite, car la vie est dure en ce bas monde.

Très vite et avec force travail elle acquis toutes mes techniques de baston de rue shaolin.

Son premier combat, long et douloureux fut d’éradiquer la souris d’une caserne squattée par des artistes maudits Niçois, tâche dont elle s’acquitta avec efficacité tellement qu’elle reçu bien vite la demande de la caserne d’en face d’en faire de même avec leur ennemi intérieur !

Oui mais le héros dérange, bien vite là encore sous des prétextes plus que mensongers elle fut exilés, boudée, éffacée de l’histoire officielle.

Mais telle Batman, elle continua la lutte mais cachée…

Elle bouta hors de la cours de la caserne en lui faisant faire trois fois le tour de la coure de la caserne un horrible pitbull dragonesque, fighta trois gros chien noirs chapardeur de poubelles et de frigo en même temps, le combat sembla même inégal pour la gentes canine (il partirent certes mais en pleurant, ils pleuraient vous dis-je !).

Elle griffa à mort l’horrible connard de clochard qui voulut en faire un repas, telement que finalement je ne lui distribua qu’une petite baffe entre ses deux yeux de lâche assassin.

Quand nous nous installâmes dans la région Nisso-Russe, elle éradiqua vaillamment l’ennemi intérieur de l’atelier, une fois de plus, le plus simplement possible.

Elle ne reçut des « Diables Bleus «  aucunes médailles, nuls remerciements.

Puis la générale Salambô fut « mise au rencard », toujours pour des prétextes sans fondements aucun.

Elle traversa deux années de pure solitude, nous voyant quotidiennement.

Son regard était vide.

Bien sûr régulièrement j’entendais des combats, toujours aboutit, toujours victorieux mais ce n’était plus la même chose…

Les combats ne comprenais plus de mission.

Puis une ère de justice fit jour !

Arscola était dévoré par l’ennemi intérieur, il leur fallait un sauveur.

La présidente fit appel (sur un judicieux conseil télépathique de ma part) à la générale Cha.

Quel ne fut pas son bonheur de rentrer en Arscola et de s’acquitter immédiatement de sa tâche.

Mais l’énemi contourna la générale par le côté (le mien) Orange Bleue.

En ce moment même elle mène la lutte sur les deux fronts, je la suis, je l’observe et l’admire !

Et c’est ainsi que …

Minette ! t’es dégueu ! arrête de chier partout merde !

Je vais te refouttre dehors moi !

Comments

[Lucile de la 203]

Je vous assure, mon sous-fifre n'est pas mal non plus. A son plus jeune age je me suis associer a un commandent qui fut d'elle une véritable machine a tuer ! Et malgré des années de laissé-allé la voilà toujours partante... Hélas pour moi, les souris des bas-fond ne l'intéresse pas et les chats du quartier sont des pacifistes, du coup ses seules proies sont... mes mains ! N'y a-t-il pas moyens de lui extraire du cerveau toutes les données de combat ?